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et oui, c'est possible, là aussi.
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Commentaires
Je ne sais pas d'où est partie cette coutume du "hug". Effectivement, elle semble avoir des origines anglo-saxones ; les geeks qui ont des macs adorent, paraît-il, "hugger" leur machine (j'avais trouvé un blog où une jeune fille faisait des photos de ses hugs). Je sais qu'il y a aussi une dame indienne d'un certain âge qui fait le tour du monde pour prendre dans ses bras des milliers de personne, dans des séances qui durent plusieurs heures. Les gens en ressortent transformés.
Cela fait sans doute ressortir pas mal de joie, nos sociétés sont tellement désincarnées et le lien social ténu comme peau de chagrin... Est-ce la même chose quand c'est un jeune homme ou une dame aux cheveux blancs? je ne sais pas, en tout cas cela fait un bien énorme sans doute...
Le monde moderne idéalise le corps comme objet de contemplation esthétique, de désir, voire comme instrument de réussite sociale (silicone US) mais il a sans doute oublier que ce corps nous permet de donner chaleur et tendrese aux autres.
Un vrai régal, ce blog, qui revisite l'esprit de Noël et donne des lueurs d'espoir !4MagaliMercredi 18 Juillet 2012 à 12:05
Il faudrait changer les "free hugs" en "bises gratuites", ça passerait peut-être mieux, du moins en France.5Je transfèreMercredi 14 Août 2013 à 22:03A Coq:
La peur, voilà tout le problème.
Nos existences sont conditionnées par la peur.
Dur labeur que d'en prendre conscience et d'en sortir.
Bon dimancheRéponse de fée des agrumes le 20/12/2009 à 12h19A la femme des steppes:
C'est vrai que certains nous touchent au hasard des rues.
Parfois, les circonstances permettent de prendre dans les bras, pourquoi ne pas essayer?Réponse de fée des agrumes le 22/12/2009 à 17h51A Abellion:
Embrasser est un bon mot avec câlins. Pourquoi chercher plus loin?
le toucher est l'un des premiers sens développé par le bébé dans sa relation au monde, c'est un besoin fondamental de l'humain. Simplement accepter que nous en avons tous besoin est déjà une belle avancée, oser en faire la demande un pas immense.
Acceptés en soi, demandés, partagés, le câlin, l'accolade, l'embrassade sont des moments forts et il est dommage de s'en passer.
Je peux dire pour en avoir été que dans les moments terribles de renoncement à la vie, c'est peut être le dernier lien chaleureux et comblant qui accompagne au mieux, bien plus que la parole.
Au plaisir de vous recroiser ici ou là.
Réponse de fée des agrumes le 24/12/2009 à 14h44A Magali:
L'accolade américaine a un côté superficiel et galvaudé que les français n'ont pas voilà pourquoi elle peut paraitre si dérangeante, je crois.
En même temps, c'est tellement fort à vivre. A chacun de faire selon son ressenti.
Personnellement, je déteste les bises superficielles telles qu'elles ont pratiquées le plus souvent. je préfère saluer de loin ou de la main et faire des accolades sincères quand l'envie et les circonstances s'y prêtent.Réponse de fée des agrumes le 20/12/2009 à 12h23
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C'est marrant j'ai l'impression d'avoir reconnu un gars qui était à la fac avec moi parmi ceux qui refusent les câlins (sur le Pont des Arts)